
Au début de l’année, la Ville de Carrières-sous-Poissy a fait accrocher sur la façade de l’Hotel de Ville les portraits des quatre otage français, retenus en Syrie depuis maintenant dix mois. Les élections sont passées par là, et une nouvelle équipe municipale a pris la responsabilité de la gestion de la ville. Rien de particulier jusque ici, sauf que j’ai eu la surprise de constater ce jeudi soir la disparition de ces portraits.
Pourtant, le soutien aux otages français, la défense du travail des journalistes, la défense de la liberté d’expression et de la paix n’ont pas de couleur politique et va dans le sens de l’intérêt général. J’ai donc écris au Maire pour solliciter une remise en place des ces affiches de soutien à nos concitoyens toujours retenus contre leur gré en Syrie.